ACTUALITÉS
Décembre 2023 et heureuse année nouvelle !
HEUREUSE NOUVELLE ANNÉE À VOUS …
…créative et ludique !
Au sommaire de ce billet :
Expositions à la BNF
Nouveau site de l’atelier
Mes débuts dans la formation
L’exposition Noir&Blanc -dont vous avez peut être croisé les affiches- se tient à la bibliothèque nationale de France (site François Mitterrand ) dans le 13ème arrondissement.
Une autre exposition témoin de la création photographique est présentée au même niveau.
Il s’agit de « Épreuves de la matière ». L’ensemble des deux expositions est exceptionnel.
DES NOCTURNES SONT PRÉVUES EN JANVIER
Une autre exposition témoin de la création photographique est présentée au même niveau.
Il s’agit de « Épreuves de la matière ». L’ensemble des deux expositions est exceptionnel.
DES NOCTURNES SONT PRÉVUES EN JANVIER
Voici le lien vers une émission de France Culture qui en fait à la fois l’éloge et le détail.
Bravo aux conservatrices qui ont reçu de la critique Corinne Rondeau (plutôt sévère!) un quasi 5 étoiles !
Je suis fière d’avoir été sollicitée afin de commenter des tirages des collections de la BNF dans un chapitre du film accompagnant l’exposition.
En quelques mots voici pourquoi :
En quelques mots voici pourquoi :
le sous-titre de l’exposition est « une esthétique de la photographie « , une de ses pièces maîtresses est un nuancier composé de soixante œuvres.
Du blanc au noir, on découvre soixante possibles. Les photographes se sont exprimé-e-s, ils-elles jouent des touches sur la palette et les propositions foisonnent.
En explorant tout un vocabulaire de tons de gris, on voyage du plus léger fantôme laiteux jusqu’à la valeur la plus sourde du matériau, quand les sels d’argent ont « noirci » à l’extrême, comme sur l’argenterie de vos grand-parents 😉 ou quand l’encre atteint saturation.
C’est cette recherche que nous accompagnons et menons au terme, acteurs et faiseurs du laboratoire ou de la chaîne graphique.
Du blanc au noir, on découvre soixante possibles. Les photographes se sont exprimé-e-s, ils-elles jouent des touches sur la palette et les propositions foisonnent.
En explorant tout un vocabulaire de tons de gris, on voyage du plus léger fantôme laiteux jusqu’à la valeur la plus sourde du matériau, quand les sels d’argent ont « noirci » à l’extrême, comme sur l’argenterie de vos grand-parents 😉 ou quand l’encre atteint saturation.
C’est cette recherche que nous accompagnons et menons au terme, acteurs et faiseurs du laboratoire ou de la chaîne graphique.
Nouveau site de l’atelier
Le site de l’atelier a été complètement refondu.
Olivier Marchesi ( photographe et directeur artistique des éditions Bergger) a opéré cette transformation.
J’ai fait confiance à son sens de la mise en page et à son talent dans le choix judicieux des visuels (en raccourci : l’indispensable « editing »).
J’ai clarifié mes textes et la construction des pages.
Merci à toustes celles et ceux qui ont contribué, notamment en me fournissant des photos.
La création et l’animation d’ateliers de photographie argentique et bien sûr plus particulièrement de tirage est un arc avec lequel j’ai déjà tiré quelques flèches !
Les stagiaires reçus à l’atelier m’ont initiée depuis longtemps à ce processus de transmission. Faire connaître et pratiquer ce merveilleux métier comme le disait mon amie et cliente Dominique Darbois…
J’y ai pris goût et me suis donné le temps d’envoyer mes propositions, notamment dans les écoles d’art du troisième cycle
…mais pas que :
…mais pas que :
c’est ainsi que j’enseigne maintenant le lundi soir à la Maison Pop à Montreuil à deux groupes de dix adultes et nous avons montré ensemble en juin dernier une exposition de fin d’année plutôt aboutie.
Le pass-culture m’a permis d’être en contact avec les collèges et d’animer un atelier photogramme autour de l’autoportrait pour une classe de troisième.
Aussi :
l’histoire, parfois taquine, m’a ramenée à un des points de départ de mon parcours.
Arles, la prestigieuse école où j’avais été recalée avant d’aller étudier la photographie à L’Université de Marseille, m’y voici depuis deux saisons pour un workshop avec un groupe d’étudiant-e-s de deuxième année. Patrick Massary et l’équipe de l’École Nationale supérieure de la Photographie m’ont très bien accueillie et je suis heureuse d’y accompagner un atelier éphémère. Je l’ai conçu conjointement avec l’équipe comme un cycle de production de trois jours suivi d’une journée de finition et de restitution.
Permettre aux étudiant-es de comprendre et pratiquer le travail à l’agrandisseur et de mettre en forme une série aboutie de tirages d’exposition est l’objet de ce workshop de perfectionnement.
Le pass-culture m’a permis d’être en contact avec les collèges et d’animer un atelier photogramme autour de l’autoportrait pour une classe de troisième.
Aussi :
l’histoire, parfois taquine, m’a ramenée à un des points de départ de mon parcours.
Arles, la prestigieuse école où j’avais été recalée avant d’aller étudier la photographie à L’Université de Marseille, m’y voici depuis deux saisons pour un workshop avec un groupe d’étudiant-e-s de deuxième année. Patrick Massary et l’équipe de l’École Nationale supérieure de la Photographie m’ont très bien accueillie et je suis heureuse d’y accompagner un atelier éphémère. Je l’ai conçu conjointement avec l’équipe comme un cycle de production de trois jours suivi d’une journée de finition et de restitution.
Permettre aux étudiant-es de comprendre et pratiquer le travail à l’agrandisseur et de mettre en forme une série aboutie de tirages d’exposition est l’objet de ce workshop de perfectionnement.
Un autre registre de formation est celui de ceux et celles qui choisissent le medium argentique pour leur oeuvre, les artistes plasticiens ainsi les nomme-t-on.
Un projet conjoint de l’École Duperré et du Collège International de Photographie m’a ainsi intégrée en tant que, je dirais, « consultante formatrice » au printemps dernier. Ce travail avec les professeurs Maëlle Chastanet et Jean-François Rogeboz, auprès de ceux et celles qui ne se définissent pas toujours « photographes » demande d’adopter d’autres repères mais d’offrir là aussi tout le support technique que nécessitent les enjeux professionnels .
Un projet conjoint de l’École Duperré et du Collège International de Photographie m’a ainsi intégrée en tant que, je dirais, « consultante formatrice » au printemps dernier. Ce travail avec les professeurs Maëlle Chastanet et Jean-François Rogeboz, auprès de ceux et celles qui ne se définissent pas toujours « photographes » demande d’adopter d’autres repères mais d’offrir là aussi tout le support technique que nécessitent les enjeux professionnels .
À bientôt !
IM